Au début il y a le rêve. Celui que je fais, celui que nous faisons parfois, endormi ou éveillé. Celui qui plus réel que le réel laisse d’indélébiles traces sur celles du quotidien. Au début il y a le rêve, puis la volonté de s’y fondre. De le rendre vrai, puisque notre réalité – est – une fiction choisi.
Ces images, ces scènes en sont témoins.
Les rêveurs meurent en dormant, parce qu’ils ressentent ce qu’ils voient, parce que leur pensée est sauvage et qu’ils se sont émancipés de la réalité.