C’est entre le jour et la nuit, que je vais – dans un geste dansé bas – quand les ombres s’allongent / quand personne ne voit. Aussi souvent que je peux, vers les terres neuves j’avance, en poésie j’avance.
Nous parlions aux oiseaux
Vivre dans les reflets
Les hommes consolés par la mer
L’incandescence de ma nuit
J’habite un feu
Les joies grises
Nuit Refuge
Phénoménologie des absents