Ces images sont celles de l’intervalle qui nous échappe. Notre présence s’y fait végétale, elle s’immisce dans les anfractuosités, s’incarne dans les ruines d’où la présence humaine se retire.
En ces espaces qui se déploient ou se contractent – les images s’enracinent et plongent quelque part, leurs racines profondes pour s’ancrer dans un ciel – et entre les deux glisse le monde.